Fourmillière humaine, Delhi, capitale de l'Inde, et point d'arrivé de nombreux touristes, est une introduction sans transition à l'Inde d'aujourd'hui. La première question que l'on se pose en arrivant est : comment es ce possible qu'un tel bazar tienne en place et ne s'effondre pas sur lui meme !
Je me souvient d'une citation d'une personne dont j'ai oublié le nom qui disait : "L'Inde, c'est une anarchie aui fonctionne" et je croit que Delhi en est le parfait exemple.
Dans le quartier de Pahar Ganj, le quartier ou sejournent nombres de routards, c'est un echaffaudage de petits immeubles qu'on croirait presque contruit à base de récupération, empilés les un sur les autres. dans les rues la cacophonie est generale, entre la gigantesque masse humaine, les rickshaws, les vaches et les taxi et voiture klaxonnant pour un oui ou pour un non, tous s'emmele et se demmele à 100 à l'heure, bien plus vite que ce que je peut assimiler en une seule fois.
comme prévu les touristes sont repérés en un rien de temps et on essaye de vous diriger vers divers fausses offices du tourisme prétendument gouvernementales, mais il est assez simple de se rendre compte de la supercherie, et il suffit de se fondre dans la masse et d'avoir l'air sur de soit pour se faire oublier.
Après un jour ou deux assez effrayant, on s'habitue à l'ambiance sur-volté de la capitale, et on se met à apprecier la bonne humeur generale des Indiens, les marriages et les feux d'artifices tous les soirs ou presque, etc.
Je quitte ce matin cette ville magnifique, impressionante et fatiguante pour rejoindre Agra et le Taj Mahal, après avoir passé ma dernière soirée à Delhi chez des Kashmiri m'ayant chaleureusement accueilli chez eux pour le diner, en companie d'un couple americano-colombien, d'un jordanien exilé à Oxford, et d'un japonais.
Je me souvient d'une citation d'une personne dont j'ai oublié le nom qui disait : "L'Inde, c'est une anarchie aui fonctionne" et je croit que Delhi en est le parfait exemple.
Dans le quartier de Pahar Ganj, le quartier ou sejournent nombres de routards, c'est un echaffaudage de petits immeubles qu'on croirait presque contruit à base de récupération, empilés les un sur les autres. dans les rues la cacophonie est generale, entre la gigantesque masse humaine, les rickshaws, les vaches et les taxi et voiture klaxonnant pour un oui ou pour un non, tous s'emmele et se demmele à 100 à l'heure, bien plus vite que ce que je peut assimiler en une seule fois.
comme prévu les touristes sont repérés en un rien de temps et on essaye de vous diriger vers divers fausses offices du tourisme prétendument gouvernementales, mais il est assez simple de se rendre compte de la supercherie, et il suffit de se fondre dans la masse et d'avoir l'air sur de soit pour se faire oublier.
Après un jour ou deux assez effrayant, on s'habitue à l'ambiance sur-volté de la capitale, et on se met à apprecier la bonne humeur generale des Indiens, les marriages et les feux d'artifices tous les soirs ou presque, etc.
Je quitte ce matin cette ville magnifique, impressionante et fatiguante pour rejoindre Agra et le Taj Mahal, après avoir passé ma dernière soirée à Delhi chez des Kashmiri m'ayant chaleureusement accueilli chez eux pour le diner, en companie d'un couple americano-colombien, d'un jordanien exilé à Oxford, et d'un japonais.
Hey! Ravis d'avoir de tes nouvelles, poursuis ton chemin mouvementé ! Signé Mélo, Maman, Gérard et les grands parents !
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